La réincarnation : un soir et un matin sans fin

Tous les mystères de l’univers sont reflétés dans notre quotidien

"Réincarnation"
Illustration numérique générée et composée
© Editions Prosveta S.A.
(cliquer pour zoomer)

« Je voudrais aujourd’hui vous parler de la réincarnation, car j’en vois parfois certains parmi vous que cette question préoccupe et inquiète. On leur a toujours enseigné que l’homme ne vit qu’une fois, et maintenant, en entendant parler de réincarnation, ils sont troublés, rien n’est clair dans leur tête.

Voici un exemple simple et clair. Le soir, pour vous coucher, vous vous déshabillez. Un à un, vous enlevez vos vêtements : la veste, la chemise, le tricot… Le soir, quand vous vous couchez, c’est le symbole de la mort ; tous ces vêtements que vous quittez représentent les différents corps dont vous devez vous libérer les uns après les autres : d’abord le corps physique, puis, quelque temps après, une semaine ou deux, le corps éthérique ; ensuite le corps astral, et là, c’est beaucoup plus long, parce que dans le plan astral sont entassés les passions, les convoitises, tous les sentiments inférieurs.

Et c’est cela l’Enfer : le plan astral et le plan mental inférieur où l’on doit rester quelque temps pour se purifier… Ensuite, vous vous libérez du corps mental, et c’est là que commence le Paradis avec le premier ciel, le deuxième ciel, le troisième ciel…

La tradition rapporte qu’il y en a sept. Ce n’est qu’après s’être complètement dépouillé qu’on entre tout nu dans le septième ciel ; « tout nu », c’est-à-dire purifié, sans entraves.

Et le matin, c’est le retour de l’homme sur la terre, la naissance de l’enfant. On reprend ses vêtements : le tricot, la chemise, etc. Quand l’enfant vient sur la terre, il s’habille tout d’abord de ses corps subtils (atmique, bouddhique, causal), puis de ses corps mental, astral, éthérique, et enfin du corps physique. Vous voyez, chaque soir on se déshabille, chaque matin on se rhabille, on le fait depuis des années, mais on ne s’est jamais arrêté pour réfléchir sur ces gestes et voir qu’ils correspondent aux processus de l’incarnation et de la désincarnation, de la naissance et de la mort.

Pourtant, si l’on savait interpréter tous ces actes quotidiens, ces gestes, ces travaux, ces comportements, les mécanismes de la nutrition, de la respiration, etc., on ferait d’immenses découvertes. Car tous les mystères de l’univers sont là reflétés dans nos gestes, dans nos paroles, dans tous les actes de notre vie, mais pour les déchiffrer il faut avoir étudié dans une École initiatique. »

"La ronde des vies"
Peinture numérique générée et composée
© Editions Prosveta S.A.
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"Réincarnation"
Illustration numérique générée et composée © Editions Prosveta S.A.
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« Je voudrais aujourd’hui vous parler de la réincarnation, car j’en vois parfois certains parmi vous que cette question préoccupe et inquiète. On leur a toujours enseigné que l’homme ne vit qu’une fois, et maintenant, en entendant parler de réincarnation, ils sont troublés, rien n’est clair dans leur tête.

Voici un exemple simple et clair. Le soir, pour vous coucher, vous vous déshabillez. Un à un, vous enlevez vos vêtements : la veste, la chemise, le tricot…

Le soir, quand vous vous couchez, c’est le symbole de la mort ; tous ces vêtements que vous quittez représentent les différents corps dont vous devez vous libérer les uns après les autres : d’abord le corps physique, puis, quelque temps après, une semaine ou deux, le corps éthérique ; ensuite le corps astral, et là, c’est beaucoup plus long, parce que dans le plan astral sont entassés les passions, les convoitises, tous les sentiments inférieurs. Et c’est cela l’Enfer : le plan astral et le plan mental inférieur où l’on doit rester quelque temps pour se purifier…

Ensuite, vous vous libérez du corps mental, et c’est là que commence le Paradis avec le premier ciel, le deuxième ciel, le troisième ciel… La tradition rapporte qu’il y en a sept. Ce n’est qu’après s’être complètement dépouillé qu’on entre tout nu dans le septième ciel ; « tout nu », c’est-à-dire purifié, sans entraves.

Et le matin, c’est le retour de l’homme sur la terre, la naissance de l’enfant. On reprend ses vêtements : le tricot, la chemise, etc. Quand l’enfant vient sur la terre, il s’habille tout d’abord de ses corps subtils (atmique, bouddhique, causal), puis de ses corps mental, astral, éthérique, et enfin du corps physique. Vous voyez, chaque soir on se déshabille, chaque matin on se rhabille, on le fait depuis des années, mais on ne s’est jamais arrêté pour réfléchir sur ces gestes et voir qu’ils correspondent aux processus de l’incarnation et de la désincarnation, de la naissance et de la mort.

"La ronde des vies"
Peinture numérique générée et composée © Editions Prosveta S.A.
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Pourtant, si l’on savait interpréter tous ces actes quotidiens, ces gestes, ces travaux, ces comportements, les mécanismes de la nutrition, de la respiration, etc., on ferait d’immenses découvertes. Car tous les mystères de l’univers sont là reflétés dans nos gestes, dans nos paroles, dans tous les actes de notre vie, mais pour les déchiffrer il faut avoir étudié dans une École initiatique. »

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