Quand patience et espérance cheminent ensemble
Quand patience et espérance cheminent ensemble l’avenir s’ouvre largement
« Une idée, une pensée est une entité vivante ; lorsqu’elle sort de notre tête, elle parcourt l’espace en décrivant un cercle, elle passe ainsi par différentes régions où elle se charge des éléments qui lui sont propres, puis elle revient vers son lieu d’origine, c’est-à-dire nous.
Chaque pensée a besoin d’un laps de temps déterminé pour décrire un cercle. Les pensées les plus spirituelles, les plus nobles et divines décrivent de très grands cercles. Elles parcourent toutes les régions, jusqu’au monde divin, avant de redescendre en apportant leurs trésors.
La sagesse réclame que nous tenions compte à la fois du temps pour le plan physique et de l’éternité pour l’âme et pour l’esprit. La précipitation dans laquelle vivent les humains les prive de cet élément de durée, d’infini, qui donne un sens, un goût à la vie. Quand ils ne trouvent pas rapidement ce qu’ils cherchent, ils passent tout de suite à autre chose… C’est pourquoi intérieurement, ils n’arrivent nulle part.
La patience est une qualité du grand âge, et l’espérance est celle de la jeunesse. Oui, la jeunesse espère, et si elle ne voit pas rapidement venir ce qu’elle espère, elle s’impatiente ; alors que la vieillesse n’espère plus grand-chose, mais elle a appris à supporter patiemment. En réalité, il faut que patience et espérance se rencontrent. Où il y a l’espérance, la patience doit venir apporter son soutien. Et quand la patience est là, l’espérance ne peut pas être loin. Si on n’espère rien, comment et pourquoi être patient ? Il n’y a rien à attendre. Mais quand patience et espérance cheminent ensemble, année après année, l’avenir s’ouvre largement. »
« Une idée, une pensée est une entité vivante ; lorsqu’elle sort de notre tête, elle parcourt l’espace en décrivant un cercle, elle passe ainsi par différentes régions où elle se charge des éléments qui lui sont propres, puis elle revient vers son lieu d’origine, c’est-à-dire nous.
Chaque pensée a besoin d’un laps de temps déterminé pour décrire un cercle. Les pensées les plus spirituelles, les plus nobles et divines décrivent de très grands cercles. Elles parcourent toutes les régions, jusqu’au monde divin, avant de redescendre en apportant leurs trésors.
La sagesse réclame que nous tenions compte à la fois du temps pour le plan physique et de l’éternité pour l’âme et pour l’esprit. La précipitation dans laquelle vivent les humains les prive de cet élément de durée, d’infini, qui donne un sens, un goût à la vie. Quand ils ne trouvent pas rapidement ce qu’ils cherchent, ils passent tout de suite à autre chose… C’est pourquoi intérieurement, ils n’arrivent nulle part.
La patience est une qualité du grand âge, et l’espérance est celle de la jeunesse. Oui, la jeunesse espère, et si elle ne voit pas rapidement venir ce qu’elle espère, elle s’impatiente ; alors que la vieillesse n’espère plus grand-chose, mais elle a appris à supporter patiemment. En réalité, il faut que patience et espérance se rencontrent. Où il y a l’espérance, la patience doit venir apporter son soutien. Et quand la patience est là, l’espérance ne peut pas être loin. Si on n’espère rien, comment et pourquoi être patient ? Il n’y a rien à attendre. Mais quand patience et espérance cheminent ensemble, année après année, l’avenir s’ouvre largement. »