Les pierres précieuses : un travail avec la matière
La pierre est comme une antenne
« Depuis la plus haute antiquité, les pierres précieuses ont été considérées comme douées de pouvoirs merveilleux, mais aussi comme les symboles des vertus divines. Si les pierres précieuses ont une telle valeur, c’est qu’elles représentent la quintessence la plus pure de la terre. Elles sont le résultat de tout un travail de transformation que fait la terre sur la matière brute qu’elle porte en son sein. Avec sa science, avec sa patience, la terre arrive à transformer cette matière, à la faire mûrir, à la changer en pierres précieuses : rubis, turquoises, émeraudes, saphirs, diamants…
Que sait-on de la terre ? On ne sait pas que c’est un être vivant, intelligent, qui a une âme, un esprit et qui fait un immense travail. La terre prépare tous ces trésors dans ses chantiers, parce qu’elle a un désir : elle veut arriver à matérialiser les qualités et les vertus du monde céleste ; elle veut les refléter, les présenter ici, en bas, d’une façon concrète, tangible. Et maintenant, c’est aux êtres humains à l’imiter pour faire ce travail sur eux-mêmes, et transformer leur matière brute en pierres précieuses, c’est-à-dire en vertus. La coutume de placer des pierres précieuses sur les ornements des prêtres ou la couronne des rois vient de cette connaissance, que les pierres précieuses représentent les qualités et les vertus des êtres les plus évolués. Et chaque pierre représente une vertu différente : la topaze la sagesse, le saphir la vérité, le rubis l’amour…
Si on place des pierres précieuses sur les couronnes des rois de la terre, c’est parce qu’il y en a déjà sur la couronne du Créateur.
Oui, le Créateur est paré d’une couronne et sur cette couronne brillent des pierres précieuses : les vertus de toutes les hiérarchies angéliques…
La nature travaille avec la matière, l’homme n’a donc pas le droit de la négliger : elle est là pour l’instruire, pour lui montrer le chemin.
Une pierre précieuse, si petite soit-elle, est une particule de matière susceptible de fixer et de retenir une force cosmique. Il faut donc apprendre à utiliser cette propriété. Mais ce n’est pas maintenant une raison pour s’arrêter sur la pierre et se dire : « C’est elle qui va me transformer, me donner ses vertus, me guérir… » Non, si vous ne faites pas le travail spirituel, ne comptez pas sur elle, elle ne vous servira à rien.
La pierre est comme une antenne, il faut lui donner des ordres et des messages à transmettre ; à ce moment-là, elle est fidèle, elle travaille, elle exécute, car derrière elle il y a des forces qui tournent, qui vibrent...
Savez-vous pourquoi les pierres précieuses sont tellement aimées, appréciées ? À cause de la lumière. Oui, elles vibrent si bien en harmonie avec les forces de la nature qu’elles sont devenues transparentes, elles laissent passer la lumière et la font apparaître dans toutes ses nuances. Le disciple de la nouvelle vie est aussi une pierre précieuse : il a compris que pour devenir beau et rayonnant il doit laisser le Seigneur, la lumière, habiter en lui, passer à travers lui, jusqu’à ce que son corps physique lui-même puisse devenir lumière. »
« Depuis la plus haute antiquité, les pierres précieuses ont été considérées comme douées de pouvoirs merveilleux, mais aussi comme les symboles des vertus divines. Si les pierres précieuses ont une telle valeur, c’est qu’elles représentent la quintessence la plus pure de la terre. Elles sont le résultat de tout un travail de transformation que fait la terre sur la matière brute qu’elle porte en son sein. Avec sa science, avec sa patience, la terre arrive à transformer cette matière, à la faire mûrir, à la changer en pierres précieuses : rubis, turquoises, émeraudes, saphirs, diamants…
Que sait-on de la terre ? On ne sait pas que c’est un être vivant, intelligent, qui a une âme, un esprit et qui fait un immense travail. La terre prépare tous ces trésors dans ses chantiers, parce qu’elle a un désir : elle veut arriver à matérialiser les qualités et les vertus du monde céleste ; elle veut les refléter, les présenter ici, en bas, d’une façon concrète, tangible.
Et maintenant, c’est aux êtres humains à l’imiter pour faire ce travail sur eux-mêmes, et transformer leur matière brute en pierres précieuses, c’est-à-dire en vertus. La coutume de placer des pierres précieuses sur les ornements des prêtres ou la couronne des rois vient de cette connaissance, que les pierres précieuses représentent les qualités et les vertus des êtres les plus évolués. Et chaque pierre représente une vertu différente : la topaze la sagesse, le saphir la vérité, le rubis l’amour…
Si on place des pierres précieuses sur les couronnes des rois de la terre, c’est parce qu’il y en a déjà sur la couronne du Créateur.
Oui, le Créateur est paré d’une couronne et sur cette couronne brillent des pierres précieuses : les vertus de toutes les hiérarchies angéliques…
La nature travaille avec la matière, l’homme n’a donc pas le droit de la négliger : elle est là pour l’instruire, pour lui montrer le chemin.
Une pierre précieuse, si petite soit-elle, est une particule de matière susceptible de fixer et de retenir une force cosmique. Il faut donc apprendre à utiliser cette propriété. Mais ce n’est pas maintenant une raison pour s’arrêter sur la pierre et se dire : « C’est elle qui va me transformer, me donner ses vertus, me guérir… » Non, si vous ne faites pas le travail spirituel, ne comptez pas sur elle, elle ne vous servira à rien.
La pierre est comme une antenne, il faut lui donner des ordres et des messages à transmettre ; à ce moment-là, elle est fidèle, elle travaille, elle exécute, car derrière elle il y a des forces qui tournent, qui vibrent...
Savez-vous pourquoi les pierres précieuses sont tellement aimées, appréciées ? À cause de la lumière. Oui, elles vibrent si bien en harmonie avec les forces de la nature qu’elles sont devenues transparentes, elles laissent passer la lumière et la font apparaître dans toutes ses nuances. Le disciple de la nouvelle vie est aussi une pierre précieuse : il a compris que pour devenir beau et rayonnant il doit laisser le Seigneur, la lumière, habiter en lui, passer à travers lui, jusqu’à ce que son corps physique lui-même puisse devenir lumière. »