Les couleurs nous parlent
Expression de qualités et de vertus
« Dans les règnes minéral, végétal, animal et humain, chaque créature, chaque élément a une ou plusieurs couleurs. Ces couleurs, ainsi que leurs vibrations, sont des objets d’étude pour le géologue, le chimiste, le physicien, le médecin, l’agriculteur, le poète, le peintre, etc. Sans que nous en prenions réellement conscience, chaque jour nous trouvons dans les couleurs certaines indications : celles du ciel disent le temps qu’il fait ou qu’il fera (et on entend parfois parler des « couleurs du temps »), celles de la végétation nous renseignent sur le passage des saisons, celles d’un fruit nous renseignent sur sa maturité…
Quant aux visages humains, du rouge au violet, ils peuvent passer par toutes les teintes de la palette, et chacune a une explication. Sous l’effet de la gêne, de la confusion ou de la colère, un visage peut devenir rouge ; et à la fin d’un repas, il arrive que cette couleur apparaisse sur les joues de celui qui a exagérément mangé ou bu, au point même de se teinter de violet. Le visage de celui qui a trop travaillé, trop étudié ou dont le foie fonctionne mal se colore de jaune, et il y a aussi une maladie qu’on appelle la jaunisse. On a du plaisir à regarder les joues roses d’un enfant car c’est un signe de bonne santé, et on s’inquiète de voir du gris sur celles d’un malade. Sur le visage d’une personne qui éprouve une grande frayeur apparaît parfois une teinte verdâtre ou bleuâtre et il existe l’expression « avoir une peur bleue ». On peut aussi devenir bleu de froid ; et sans doute connaissez-vous l’existence de la « maladie bleue » occasionnée par une malformation du cœur et des vaisseaux sanguins. L’absence de couleur, un visage presque blanc, est aussi révélatrice.
Ne serait-ce que sur les visages humains on peut donc observer toute la gamme des couleurs, plus ou moins foncées ou claires : elles sont un indice non seulement pour les médecins, mais pour ceux qui s’intéressent à la nature profonde des êtres. La plupart du temps, quand je vous parle des couleurs, je les associe à des qualités et des vertus dont elles sont l’expression, et ces couleurs sont pures, claires. Mais chez un être qui n’a pas la maîtrise de son monde intérieur, on sent ces couleurs brouillées, ternes. Il y a des rouges qui révèlent qu’il est sujet à la colère, à la violence ; des jaunes, qu’il ne sait pas raisonner ; des verts, qu’il est dominé par la sensualité et l’envie ; des bleus, qu’il a perdu la foi, ou qu’il vit dans le mensonge, etc. Il ne faut jamais négliger l’enseignement des couleurs. »
« Dans les règnes minéral, végétal, animal et humain, chaque créature, chaque élément a une ou plusieurs couleurs. Ces couleurs, ainsi que leurs vibrations, sont des objets d’étude pour le géologue, le chimiste, le physicien, le médecin, l’agriculteur, le poète, le peintre, etc. Sans que nous en prenions réellement conscience, chaque jour nous trouvons dans les couleurs certaines indications : celles du ciel disent le temps qu’il fait ou qu’il fera (et on entend parfois parler des « couleurs du temps »), celles de la végétation nous renseignent sur le passage des saisons, celles d’un fruit nous renseignent sur sa maturité…
Quant aux visages humains, du rouge au violet, ils peuvent passer par toutes les teintes de la palette, et chacune a une explication. Sous l’effet de la gêne, de la confusion ou de la colère, un visage peut devenir rouge ; et à la fin d’un repas, il arrive que cette couleur apparaisse sur les joues de celui qui a exagérément mangé ou bu, au point même de se teinter de violet.
Le visage de celui qui a trop travaillé, trop étudié ou dont le foie fonctionne mal se colore de jaune, et il y a aussi une maladie qu’on appelle la jaunisse. On a du plaisir à regarder les joues roses d’un enfant car c’est un signe de bonne santé, et on s’inquiète de voir du gris sur celles d’un malade. Sur le visage d’une personne qui éprouve une grande frayeur apparaît parfois une teinte verdâtre ou bleuâtre et il existe l’expression « avoir une peur bleue ». On peut aussi devenir bleu de froid ; et sans doute connaissez-vous l’existence de la « maladie bleue » occasionnée par une malformation du cœur et des vaisseaux sanguins. L’absence de couleur, un visage presque blanc, est aussi révélatrice.
Ne serait-ce que sur les visages humains on peut donc observer toute la gamme des couleurs, plus ou moins foncées ou claires : elles sont un indice non seulement pour les médecins, mais pour ceux qui s’intéressent à la nature profonde des êtres. La plupart du temps, quand je vous parle des couleurs, je les associe à des qualités et des vertus dont elles sont l’expression, et ces couleurs sont pures, claires. Mais chez un être qui n’a pas la maîtrise de son monde intérieur, on sent ces couleurs brouillées, ternes. Il y a des rouges qui révèlent qu’il est sujet à la colère, à la violence ; des jaunes, qu’il ne sait pas raisonner ; des verts, qu’il est dominé par la sensualité et l’envie ; des bleus, qu’il a perdu la foi, ou qu’il vit dans le mensonge, etc. Il ne faut jamais négliger l’enseignement des couleurs. »