La véritable beauté de la femme
Grâce à la femme, pensée et esprit se réalisent dans la matière
« …Je n’ai jamais critiqué chez la femme son désir d’être belle, charmante ; non, ce désir est divin, c’est Dieu Lui‑même qui le lui a donné. C’est pourquoi je m’élève contre tous ces religieux qui auraient voulu que la femme néglige sa beauté pour ne pas exposer les hommes à la tentation.
En réalité, c’est grâce à la femme, à ses aspirations vers la beauté, que l’humanité n’est pas devenue d’une laideur épouvantable, car c’est la femme qui transmet la beauté à ses enfants. Mais il faut qu’elle apprenne à orienter ce besoin d’être belle, et au lieu de chercher la beauté dans le plan physique, qu’elle la cherche dans le plan de l’âme et de l’esprit. Si elle doit chaque fois utiliser toutes sortes de produits afin de s’embellir pour quelques heures, pour une journée, elle aura peut‑être les invitations qu’elle désire, elle réussira à capturer quelqu’un… Mais si par la suite elle n’ajoute sur son visage aucun élément d’une beauté éternelle, elle ne peut que s’abîmer. Donc, la véritable méthode, c’est de travailler sur la beauté intérieure grâce à des pensées lumineuses et des sentiments généreux qui se refléteront peu à peu sur le corps physique.
Si je réussis à inculquer aux femmes ce désir de devenir belles, mais en laissant tranquilles les petits pinceaux, les petites couleurs, les petites boîtes, et de créer en elles cette beauté, ces émanations lumineuses par la pensée, le sentiment, l’imagination, dans très peu de temps elles auront un charme extraordinaire qu’aucun produit, qu’aucun traitement dans un institut de beauté ne pourrait jamais leur donner.
Si la femme cherche à agir sur son corps physique par des moyens physiques, matériels, comme la matière représente le principe féminin, ça ne peut pas marcher, car féminin et féminin se repoussent. Pour s’embellir, pour transformer sa propre matière, la femme doit utiliser les qualités du principe masculin, c’est-à-dire les facultés de l’esprit, l’intelligence, la pureté, la force… À ce moment-là, les deux principes sont liés pour agir : le principe masculin en elle, son esprit, travaille sur son corps physique, la matière, et la matière se transforme, s’embellit. Quant à l’homme, pour se développer, il doit travailler sur le principe féminin, c’est‑à‑dire étudier la nature, la déchiffrer, l’élaborer, et alors tout l’univers se révélera à lui. Voilà pourquoi la philosophie de tous ces mystiques d’après laquelle l’homme doit fuir la terre, la matière, pour se réfugier au Paradis, au Nirvâna, est une philosophie erronée.
D’ailleurs, justement, cette tendance des femmes à embellir leur corps physique est un langage millénaire par lequel l’Intelligence cosmique a voulu apprendre à l’humanité qu’elle doit s’occuper de la terre pour l’embellir, la spiritualiser, au lieu de vouloir toujours fuir et déserter. C’est pourquoi, d’après moi ce sont les femmes qui ont toujours montré le chemin en s’occupant de la matière. Eh oui, si on sait déchiffrer le langage de la nature, ce sont les femmes qui montrent que tout ce qui appartient au monde de la pensée, de l’esprit, ne doit pas rester un objet de connaissance intellectuelle, mais descendre pour se réaliser dans le plan physique... »
« …Je n’ai jamais critiqué chez la femme son désir d’être belle, charmante ; non, ce désir est divin, c’est Dieu Lui‑même qui le lui a donné. C’est pourquoi je m’élève contre tous ces religieux qui auraient voulu que la femme néglige sa beauté pour ne pas exposer les hommes à la tentation.
En réalité, c’est grâce à la femme, à ses aspirations vers la beauté, que l’humanité n’est pas devenue d’une laideur épouvantable, car c’est la femme qui transmet la beauté à ses enfants. Mais il faut qu’elle apprenne à orienter ce besoin d’être belle, et au lieu de chercher la beauté dans le plan physique, qu’elle la cherche dans le plan de l’âme et de l’esprit.
Si elle doit chaque fois utiliser toutes sortes de produits afin de s’embellir pour quelques heures, pour une journée, elle aura peut‑être les invitations qu’elle désire, elle réussira à capturer quelqu’un… Mais si par la suite elle n’ajoute sur son visage aucun élément d’une beauté éternelle, elle ne peut que s’abîmer.
Donc, la véritable méthode, c’est de travailler sur la beauté intérieure grâce à des pensées lumineuses et des sentiments généreux qui se refléteront peu à peu sur le corps physique.
Si je réussis à inculquer aux femmes ce désir de devenir belles, mais en laissant tranquilles les petits pinceaux, les petites couleurs, les petites boîtes, et de créer en elles cette beauté, ces émanations lumineuses par la pensée, le sentiment, l’imagination, dans très peu de temps elles auront un charme extraordinaire qu’aucun produit, qu’aucun traitement dans un institut de beauté ne pourrait jamais leur donner.
Si la femme cherche à agir sur son corps physique par des moyens physiques, matériels, comme la matière représente le principe féminin, ça ne peut pas marcher, car féminin et féminin se repoussent. Pour s’embellir, pour transformer sa propre matière, la femme doit utiliser les qualités du principe masculin, c’est-à-dire les facultés de l’esprit, l’intelligence, la pureté, la force… À ce moment-là, les deux principes sont liés pour agir : le principe masculin en elle, son esprit, travaille sur son corps physique, la matière, et la matière se transforme, s’embellit. Quant à l’homme, pour se développer, il doit travailler sur le principe féminin, c’est‑à‑dire étudier la nature, la déchiffrer, l’élaborer, et alors tout l’univers se révélera à lui. Voilà pourquoi la philosophie de tous ces mystiques d’après laquelle l’homme doit fuir la terre, la matière, pour se réfugier au Paradis, au Nirvâna, est une philosophie erronée.
D’ailleurs, justement, cette tendance des femmes à embellir leur corps physique est un langage millénaire par lequel l’Intelligence cosmique a voulu apprendre à l’humanité qu’elle doit s’occuper de la terre pour l’embellir, la spiritualiser, au lieu de vouloir toujours fuir et déserter. C’est pourquoi, d’après moi ce sont les femmes qui ont toujours montré le chemin en s’occupant de la matière. Eh oui, si on sait déchiffrer le langage de la nature, ce sont les femmes qui montrent que tout ce qui appartient au monde de la pensée, de l’esprit, ne doit pas rester un objet de connaissance intellectuelle, mais descendre pour se réaliser dans le plan physique... »