La femme dans la nouvelle culture
La femme a pour vocation d’être l’éducatrice de l’homme
« Que les femmes aient certains défauts, c’est évident, mais qu’est-ce qui a pu faire croire aux hommes qu’ils leur étaient tellement supérieurs ?
Souvent, ce sont les hommes qui ont refusé aux femmes les conditions favorables pour évoluer et montrer leurs qualités. Comment n’ont-ils pas vu leur cruauté, leur égoïsme, leur injustice envers elles, leur instinct de domination ? Ils les ont exploitées, ils ont usé et abusé d’elles, mais de cela ils n’ont pas parlé. Les femmes montreront maintenant aux hommes qu’elles peuvent les dépasser dans tous les domaines. Pendant des siècles et des siècles elles ont vécu dans le silence, dans le sacrifice, dans l’obéissance, elles se sont courbées, mais actuellement elles ont acquis les possibilités de remuer le monde entier.
En étudiant les œuvres des écrivains les plus célèbres, j’ai vu que beaucoup d’entre eux s’étaient trompés sur la femme. Ils ne l’ont pas comprise et se sont laissés aller à leurs propres préjugés et élucubrations pour donner finalement une philosophie erronée. Certains pensent que se tromper au sujet de la femme n’a aucune importance, mais moi, je vous dirai que c’est très important, et que le monde entier, l’avenir de l’humanité dépendent de ce qu’on pense de la femme, que tout se développera ou périclitera d’après ce que l’homme pensera de la femme.
Dans le plan physique, quand il s’agit de créer un enfant, la femme n’est pas moins essentielle que l’homme. Rien ne peut se produire sans l’union de l’homme et de la femme ; tous deux représentent des facteurs d’égale importance.
Alors, pourquoi l’homme doit-il abuser de ses prérogatives et sous-estimer la femme alors que l’importance de la femme est égale à celle de l’homme ?
L’homme est une puissance, car lui seul possède le germe. Et pourtant cette puissance est incapable de créer, de concrétiser, de mettre au monde un enfant s’il lui manque une chose : la matière.
D’après la véritable Science ésotérique, rien n’est plus important que les principes masculin et féminin, l’homme et la femme, et le jour où tous les deux comprendront ce qu’ils représentent en réalité, la vie changera complètement, la vie sociale, la vie économique et même la vie cosmique ; et je suis absolument sûr que le Royaume de Dieu viendra alors sur la terre.
Pendant des siècles l’homme a abusé de son autorité sur la femme ; il s’est montré égoïste, injuste, violent, cruel, et maintenant, bien sûr, la femme s’éveille. Mais elle ne s’éveille pas dans la lumière, elle s’éveille pour prendre sa revanche, ce qui n’est pas mieux, même pour elle. Il faut au contraire que la femme pardonne à l’homme ; puisqu’elle est la mère de l’homme, puisqu’elle a plus d’amour que lui, puisque sa nature la porte à être bonne, indulgente, généreuse, prête à se sacrifier, il ne faut pas qu’elle cherche à se venger.
La femme doit s’éveiller maintenant à des vertus plus grandes, s’élever au-dessus de ses intérêts personnels.
La femme a pour vocation d’être l’éducatrice de l’homme. »
« Que les femmes aient certains défauts, c’est évident, mais qu’est-ce qui a pu faire croire aux hommes qu’ils leur étaient tellement supérieurs ?
Souvent, ce sont les hommes qui ont refusé aux femmes les conditions favorables pour évoluer et montrer leurs qualités. Comment n’ont-ils pas vu leur cruauté, leur égoïsme, leur injustice envers elles, leur instinct de domination ? Ils les ont exploitées, ils ont usé et abusé d’elles, mais de cela ils n’ont pas parlé. Les femmes montreront maintenant aux hommes qu’elles peuvent les dépasser dans tous les domaines. Pendant des siècles et des siècles elles ont vécu dans le silence, dans le sacrifice, dans l’obéissance, elles se sont courbées, mais actuellement elles ont acquis les possibilités de remuer le monde entier.
En étudiant les œuvres des écrivains les plus célèbres, j’ai vu que beaucoup d’entre eux s’étaient trompés sur la femme. Ils ne l’ont pas comprise et se sont laissés aller à leurs propres préjugés et élucubrations pour donner finalement une philosophie erronée. Certains pensent que se tromper au sujet de la femme n’a aucune importance, mais moi, je vous dirai que c’est très important, et que le monde entier, l’avenir de l’humanité dépendent de ce qu’on pense de la femme, que tout se développera ou périclitera d’après ce que l’homme pensera de la femme.
Dans le plan physique, quand il s’agit de créer un enfant, la femme n’est pas moins essentielle que l’homme. Rien ne peut se produire sans l’union de l’homme et de la femme ; tous deux représentent des facteurs d’égale importance.
Alors, pourquoi l’homme doit-il abuser de ses prérogatives et sous-estimer la femme alors que l’importance de la femme est égale à celle de l’homme ?
L’homme est une puissance, car lui seul possède le germe. Et pourtant cette puissance est incapable de créer, de concrétiser, de mettre au monde un enfant s’il lui manque une chose : la matière.
D’après la véritable Science ésotérique, rien n’est plus important que les principes masculin et féminin, l’homme et la femme, et le jour où tous les deux comprendront ce qu’ils représentent en réalité, la vie changera complètement, la vie sociale, la vie économique et même la vie cosmique ; et je suis absolument sûr que le Royaume de Dieu viendra alors sur la terre.
Pendant des siècles l’homme a abusé de son autorité sur la femme ; il s’est montré égoïste, injuste, violent, cruel, et maintenant, bien sûr, la femme s’éveille. Mais elle ne s’éveille pas dans la lumière, elle s’éveille pour prendre sa revanche, ce qui n’est pas mieux, même pour elle. Il faut au contraire que la femme pardonne à l’homme ; puisqu’elle est la mère de l’homme, puisqu’elle a plus d’amour que lui, puisque sa nature la porte à être bonne, indulgente, généreuse, prête à se sacrifier, il ne faut pas qu’elle cherche à se venger.
La femme doit s’éveiller maintenant à des vertus plus grandes, s’élever au-dessus de ses intérêts personnels.
La femme a pour vocation d’être l’éducatrice de l’homme. »
Texte extrait de l'ouvrage "Le Masculin et le Féminin, fondements de la création", chap. XII "Redonner à la femme sa véritable place".